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Hommages 2014 - Discours Monument des Martyrs Tamines

Discours du Centenaire 14-18

Monument des Martyrs à Tamines- vendredi 22 août 2014

 

Monsieur Jean-Charles LUPERTO

Député-Bourgmestre de Sambreville

Tamines_Luperto_n9.jpg

Ensemble, dans une émotion particulièrement perceptible, nous venons de parcourir le chemin qui, le 22 août 1914, conduisit, de l’église des Alloux à la présente place Saint-Martin, les centaines de Taminois condamnés à être massacrés par l’envahisseur.

C’est ce massacre qui fit de Tamines une ville-martyre et qui fait qu’aujourd’hui, Sambreville toute entière entend honorer avec toutes et tous ici réunis, avec celles et ceux absents et que vous représentez, cette reconnaissance aussi dramatique que justifiée.

Nous ne pouvons ici faire l’économie de rappeler les faits, aussi tragiques furent-ils, qui ont endeuillé cette indicible journée du 22 août 1914.

Les troupes allemandes sont entrées dans le centre de Tamines la veille en soirée.

Malgré les courageuses tentatives des troupes françaises pour retenir l’ennemi, celui-ci finit par assiéger Tamines.

Les maisons sont incendiées, les habitants sont terrorisés … l’horreur a commencé !

Au cours du samedi, car c’était un samedi, plusieurs groupes de citoyens sont constitués prisonniers, environ 600 hommes, femmes et enfants, étant emmenés vers l’église des Alloux.

Vers 19 heures, les soldats allemands ordonnent aux hommes captifs de former un cortège.

Ils les conduisent alors jusqu’à cette place à travers la ville en flammes.

Ces hommes ne savent pas encore qu’ils vivent leurs derniers instants et qu’ils deviendront plus tard les tristement célèbres « martyrs de Tamines ».

A 20 heures, un coup de sifflet retentit et une première salve de balles jaillit du canon des fusils allemands.

Des corps tombent, des hommes agonisent, d’autres sont écrasés par ceux qui s’effondrent sur eux.

Aux yeux des tortionnaires, le premier assaut n’a pas fait assez de victimes.

Les soldats s’approchent donc munis de ce qu’ils ont ou de ce qu’ils trouvent : baïonnettes, haches, gourdins, …

Ils se mettent à frapper … sauvagement … jusqu’à ne plus entendre le moindre souffle de vie.

383 Taminois vont ainsi trouver la mort, ici même, sous les balles et les coups en ce cruel 22 août 1914.

Ce rappel des faits d’une sauvagerie sans nom est essentiel car, plus que n’importe quel discours, il témoigne de la cruauté dont l’Humain peut se révéler capable.

Savoir cela, connaître cela, voilà encore et toujours le meilleur moyen d’éviter la réitération de la barbarie.

Comme je l’ai déjà évoqué aujourd’hui, alors que nous entamions ces journées de commémoration, il faudra encore connaître l’horreur nazie avant que l’Europe et son modèle social et démocrate deviennent un exemple de paix pour le reste de la communauté internationale.

Au risque de me répéter, à l’heure où d’aucuns revendiquent de se replier sur eux-mêmes, nous avons le devoir de croire en l’Europe et son avenir.

Y croire, c’est nous donner la seule réelle chance d’une paix universelle.

Pas seulement  une paix faite d’absence de guerres et de conflits.

Mais aussi, au risque de me répéter, une paix sociale, une paix économique, une paix raciale, une paix confessionnelle.

Une paix qui nous conduira à considérer l’Autre comme un allié et non comme un ennemi.

Ma déclaration apparaîtrait-elle fort solennelle, je n’en pense pas moins qu’il nous faut user des présentes commémorations pour mobiliser toutes les énergies pouvant être génératrices de paix.

C’est dans la paix que se trouve notre salut, notre équilibre, notre épanouissement … l’équilibre entre les peuples, par les peuples, pour les peuples.

Tous les martyrs d’hier, d’aujourd’hui et malheureusement de demain encore méritent que nous entreprenions, cette fois, un chemin qui, à l’inverse du 22 août 1914, ne mène pas à l’échafaud mais bien au respect de chacun par chacun.

Avant de conclure, je veux encore remercier toutes celles et tous ceux sans qui le travail de mémoire en cours depuis ce début d’après-midi et jusque dimanche se révèlerait vain.

Je demande à chacun de ne pas se vexer si je ne peux lui adresser des remerciements personnalisés.

En effet, la mobilisation des énergies locales et supra-locales fut et est telle que j’oublierais forcément une Autorité, un citoyen un travailleur, un service.

En vos titres et qualités, quelle que soit la raison qui justifie votre présence ou votre collaboration à la présente journée commémorative et à celles à venir, je vous adresse, au nom de la commune de Sambreville et de sa population, mes plus chaleureux et sincères remerciements.

Ensemble et seulement ensemble, nous avons pu honorer et honorerons dans la dignité et avec tout le sens des responsabilités qui nous incombent notre devoir de commémoration.

Tout au plus me permettrai-je quelques remerciements appuyés aux Autorités et délégations étrangères qui nous ont fait l’honneur de se déplacer pour la circonstance.

J’associerai à ces remerciements tous les bénévoles, en particulier celles et ceux de l’ASBL « Centenaire 14-18 en Val de Sambre » qui, depuis de longs et nombreux mois, ont défini et encadré les grands principes et événements de ces journées de commémoration des batailles de la Sambre, journées commémoratives auxquelles contribuent aussi nos communes sœurs et amies de Fosses-la-Ville, Aiseau-Presles et Mettet.

Merci enfin pour leur importante implication au Collège communal de Sambreville, à l’Administration communale et ses services.

C’est votre soutien et toutes les énergies que je viens d’évoquer qui vont permettre de vous présenter maintenant un spectacle unique intitulé « Sentiers de Mémoire », remerciant aussi celles et ceux qui l’ont voulu, imaginé, créé et qui, maintenant vont vous l’assurer, clôturant ainsi, avec majesté, ce devoir de mémoire que nous avons la responsabilité d’assumer et de perpétuer au nom des générations présentes et futures.

Bel avenir à la paix !

Longue vie à l’Europe !

Vive la Belgique !

 

Monsieur Denis MATHEN

Gouverneur de la Province de Namur

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C’est la troisième année consécutive que le Gouvernement fédéral m’a désigné officiellement pour prendre la parole en son nom ici, à Tamines, en conclusion de cette longue mais bouleversante après-midi de recueillement, de souvenir et d’émotion, en hommage à toutes celles et tous ceux qui ont fait le sacrifice ultime, il y a cent ans, durant ces instants douloureux de notre histoire qu’on appelle les combats de la Sambre.

Cet hommage, il est plus appuyé encore en ce moment précis, apogée de cette journée, car tourné plus particulièrement à présent vers les près de 400 victimes civiles dont la mort, dans des circonstances que l’on a peine à imaginer, a fait de cette entité, et à travers elle, dans une communion de pensée, de votre commune tout entière Monsieur le Bourgmestre, une ville martyre, parmi les sept que compte la Belgique.

 

Mesdames et Messieurs,

En 2012 et en 2013, j’avais déjà eu l’occasion d’aborder et d’énumérer les multiples initiatives qui se préparaient pour célébrer le centenaire de ce premier des deux conflits mondiaux qui devaient déchirer le 20ème siècle, à une vingtaine d’années d’écart seulement.

Et nous y sommes. Les semaines écoulées et celles à venir, ont vu ou verront, nombre d’autorités, politiques, consulaires, diplomatiques, militaires, académiques ou administratives prendre la parole à l’occasion des événements qui  balisent la carte des commémorations du centième anniversaire de la Grande guerre dans notre province.

Ainsi que je l’ai souligné avant-hier à Andenne (et mon propos de ce soir sera largement similaire à celui que j’ai livré à cette occasion, ceci afin de matérialiser un peu plus la solidarité qui vous unit dans l’évocation du souvenir d’un malheur injustement partagé),  le septantième anniversaire du débarquement sur les plages de Normandie, comme l’évocation d’autres épisodes particulièrement cruels des quelque 5 années du second conflit qui embrasa le Monde dans la deuxième moitié du 20ème siècle, se sont métamorphosés en amplificateurs de pleurs et de cris centenaires ; en exhausteurs indigestes du goût du sang et de l’acidité des larmes qui nous avaient déjà meurtri les sens au début de ce même siècle  ; en fixateurs dispensables du parfum de la crainte et de l’odeur de la poudre, deux sensations que l’on avait cru, à tort, il y a 80 ans, pouvoir remiser définitivement dans les tréfonds d’un passé révolu.

C’est dans ce contexte, qu’aujourd’hui et ici comme avant-hier et demain, nous faisons, ce que l’on nomme communément, notre …devoir de mémoire.

Certainement pour dire toute notre désapprobation à ce qu’ont fait ou à ce qu’ont laissé faire nos prédécesseurs.

Pour regretter, pour expier, pour ne pas oublier, pour compatir, pour décompresser, pour déculpabiliser, pour saluer, pour honorer,   … pour s’indigner, si nous en gardons la force et la détermination.

Pour rendre hommage à celles et à ceux qui ont combattu, militairement ou intellectuellement, publiquement ou clandestinement, pour préserver nos droits, pour assurer la dignité humaine, pour permettre à nos enfants de vivre leur vie d’hommes et de femmes libres ou, tout simplement, pour sauver leur peau, ce qui est aussi un noble combat.

Ce travail de mémoire (je préfère cette formulation à celle de « devoir » qui indissociable de la contrainte), nous le faisons, non pas pour faire renaître le passé et tenter de lui redonner un semblant  d’actualité dans une obsession de nostalgie malsaine mais pour éviter que ce passé ne se dérobe en laissant la place au désœuvrement moral, à l’estompement des nuances et des couleurs de notre humanité ; pour éviter qu’il ne laisse la place … à l’envahissement du néant.

Ce travail de mémoire, qui doit se fondre évidemment avec un travail sur nous-mêmes, nous devons le faire en outre pour garder en éveil la jauge de notre vigilance et conforter le socle qui doit former un tronc commun à l’éthique et à la justice des civilisations dignes de ce nom.

Ces indicateurs et ces repères qui nous aident à définir un peu mieux la différence entre le bien et le mal ; entre le supportable et l’intolérable ; entre l’avouable et l’indicible ; entre la connaissance et l’ignorance, entre la conscience et la bestialité, entre la responsabilité et  l’égarement…  

Nous le faisons enfin, ce travail de mémoire, pour empêcher, cette mémoire, de dépérir et de se briser … à nouveau.

Mesdames et Messieurs,

Au gré d’articles, d’études, de communications, d’ouvrages qui ont été ou seront publiés aux quatre coins de notre province, comme de notre pays tout entier, des mots, des locutions et des expressions dont le contenu sémantique acquérait tout doucettement la fadeur de la courge et la pâleur de l’aube, reprennent une force et une vigueur qu’on ne leur croyait plus possible.

J’en donne quelques exemples : accaparement, rationnement, mobilisation générale, moratorium financier, ultimatum …  mais aussi représailles, privation, dénonciation, délation, confiscation, pénurie, …

Il en est un qui, plus que tous les autres, est parvenu à s’imposer  au point le plus haut du fronton de ce panthéon lexicologique ressuscité, c’est le mot  martyr. A l’image de cette commune de Tamines. A l’image de ses citoyens. A l’image de sa population, il y  100 ans … d’il y a 100 ans déjà. D’il y a 100 ans seulement ….

Conservons pourtant à l’esprit que si c’est un fait indéniable que ce sont nos trois villes martyres de la province (Andenne, Dinant et Tamines) et de nombreux villages, compagnons de la même infortune, qui structurent la carte de la province de Namur envisagée sous l’angle des conséquences de la Der des Der , ce fut toute une province, toute une région, tout un pays, tout un continent, tout un monde, notre monde, qui eurent à subir et à endurer, collectivement, l’inimaginable. 

Pour en revenir aux redécouvertes terminologiques évoquées plus haut, j’ajouterai deux choses : puissent les réalités du temps présent leur laisser le loisir d’étaler la palette de leurs couleurs retrouvées et la gamme de leurs saveurs recouvrées d’abord, principalement, oserais-je dire uniquement, sur les fac-similés des journaux de jadis ou dans les pages documentées des monographies de doctes historiens plutôt que dans les gros titres de nos bulletins d’informations quotidiens.

Ensuite, le Larousse, le Robert, le Littré et tous leurs confrères, nous précisent que dans ses sens premier et deuxième, le mot « martyr » a toujours été indissociable du concept de « foi ».

Alors, ayons-la solidement rivée aux tripes, cette foi, pour longtemps, et peu importe que ses rivets soient faits de prières, de raison ou d’incertitudes.

Mesdames et Messieurs,

Je vous avoue que je me surprends parfois à me muer en un de ces naïfs impénitents qui pensent que des rencontres pareilles à celle-ci façonnent les cœurs et les caractères, les burinent et les influencent, et cela bien au-delà des quelques heures, au pire d’un protocole convenu, au mieux d’un moment de convivialité où la sincérité est bel et bien présente mais presque toujours soumise aux contraintes d’horaire des uns, aux obligations suivantes des autres, aux préoccupations personnelles de chacun.

Je suis, disais-je, de ces naïfs qui pensent qu’on ne peut pas après des moments tels que celui-ci regagner son bureau, sa voiture ou sa maison avec la même obstination contre son concurrent, le même acharnement contre son opposant, la même agressivité à l’égard de l’automobiliste qui vous précède, le même dédain face à l’autre, le même mépris devant ces belles mais difficiles idées que sont l’Europe, la construction européenne et le rassemblement des peuples et des Etats au sein d’institutions partagées, garantes de l’indépendance de chacun mais aussi du respect et de la bonne entente de tous.

Et le naïf que je suis de considérer qu’on ne devrait plus pouvoir succomber aux charmes de la polémique gratuite, instituée en seule manière d’envisager un débat ; qu’on ne devrait plus pouvoir dans les réseaux sociaux voir d’abord un moyen de dénigrer, de blesser et de vilipender avant de les prendre pour ce qu’ils sont et ce pour quoi ils ont été inventés : être un extraordinaire media et un vecteur de communication universel qui doit rapprocher les gens et faire sauter les barrières.

N’est-ce pas là également, à notre modeste niveau individuel, que peuvent se situer les enseignements à retenir des grands conflits passés ?

Car en fait de guerres, il n’y a que rarement  des générations spontanées mais presque toujours un acte délibéré déclencheur posé par un homme ou une femme … ou plusieurs.

Mesdames et Messieurs,

J’entendais ce matin à la radio un chroniqueur économique bien connu nous dire que l’on ne peut plus vendre l’Europe aux jeunes sous le simple prétexte qu’elle est un outil et un garant de la paix. Sans doute. Mais reconnaissons que si elle n’était que cela, ce ne serait déjà pas si mal.

J’ajouterai qu’une guerre n’a jamais été un contexte propice à une économie florissante, si ce n’est pour les marchands d’armes.  

En outre, si nous voulons passer le témoin à ces jeunes générations et si nous voulons que les jeunes gardent espoir et optimisme, nous devons leur garantir un espace de liberté et de sérénité qui encourage la mobilité, les échanges, la créativité et l’innovation.

Il faut cultiver pour eux, pour ces jeunes, les espérances et les rêves ; il faut miser sur la formation et l’enseignement ; il faut susciter chez eux le goût de la curiosité intellectuelle, de la tolérance, de l’ouverture au monde, de l’effort de la connaissance et de l’analyse.

Je redis, à nouveau, ici et devant vous avec détermination et conviction ce que j’ai dit à Son Excellence l’Ambassadeur d’Allemagne, il y a deux jours, sur la place des Tilleuls d’Andenne, à proximité d’un autre mémorial tout pareil à celui-ci ; je lui ai dit merci. Merci pour sa présence. Merci pour ses paroles.

Elles donnaient et ont encore donné ce jour du sens aux mots ; elles nous aident à comprendre et à dire la vérité, à redonner confiance. Elles nous ont invités à opérer une métamorphose ambitieuse et enthousiasmante : celle qui transforme l’ombre en lumière, la colère en concorde, le ressentiment en amitié…

Merci à SE l’Ambassadeur d’Allemagne pour son action courageuse car incessante, dont j’ai été de multiples fois le témoin depuis notre première rencontre au Palais provincial de Namur, il y a deux ans et demi.

Merci pour son humilité. Merci pour sa sincérité.

Merci pour son amitié.

Et à propos d’amitié, un philosophe disait qu’ « une amitié qui ne peut pas résister aux actes condamnables de l'ami n'est pas une amitié ».

N’est-ce pas ce que nous avons fait tous ensemble ce vendredi, dans la Basse-Sambre et à Tamines, éprouver, à la lumière de la pensée du philosophe, l’amitié sincère qui unit et qui doit continuer à unir pour longtemps les pays européens entre eux et tout spécialement l’Allemagne, la France et la Belgique ?

Je vous remercie de votre attention et surtout pour votre présence si nombreuse.

 

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Date de création : 15/09/2014 @ 19:16
Dernière modification : 15/09/2014 @ 19:35
Catégorie : Hommages 2014

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